IPBES " GIEC de la BIODIVERSITE"
Outrée que le Président de la République et le 1er ministre ne soient pas là pour l'ouverture !
« Si la fondation de la cathédrale du vivant s’effondre, tout le monde dégringolera »
Mais on comprend pourquoi !
« Nous avons besoin de nous donner des objectifs sectoriels, comme réduire les pesticides ou favoriser l’agroécologie, avec des chiffres précis, explique Yann Laurans. Mais c’est difficile à faire admettre politiquement, je doute qu’on y parvienne. Les pays sont toujours très sensibles à protéger leurs intérêts nationaux et leurs activités économiques. » Hélène Soubelet se montre encore plus pessimiste : « Sans catastrophe majeure, personne ne va prendre la responsabilité de faire perdre de l’argent aux puissants de ce monde ».
Autre sujet possible de débat : la reconnaissance des savoirs et des pratiques des peuples autochtones. Dans un communiqué, Jose Gregorio Mirabal, président du COICA (Coordination des organisations autochtones du bassin du fleuve Amazone) a appelé à un « pacte pour la nature » : « En tant que gardiens de 80 % de la biodiversité de la planète, les peuples autochtones doivent jouer un rôle central dans ce pacte, a-t-il précisé. Les gouvernements doivent reconnaître que nos connaissances ancestrales seront essentielles pour assurer notre avenir à tous sur cette terre.
extrait du site Reporterre
Depuis quelques décennies, il est "has been" de se référer aux anciens pour certaines pratiques , exit les vieux, nous les jeunes nous savons mieux que vous ( ce qui est vrai dans beaucoup de domaines ). et puis le dieu argent est arrivé , beaucoup de monde s'est mis à l'adorer et tout s'est emballé. Nos anciens savaient ce qu'ils devaient à la nature et la préservaient.